Plage du Pouldu
L'air doux du presque automne, le ciel bleu, les enfants heureux. Une belle découverte cette plage...
L'Arbre - Intense Ressenti
Début : Un homme rentre chez lui avec sa petite fille, Simone. Il meurt brutalement d'un arrêt cardiaque.
Julie Bertucelli ne déborde pas dans le mélo. Ce film est simplement bouleversant, délicat.
Simone, pour continuer à vivre et être heureuse, s'imagine que son papa s'est réincarné en Arbre et initie sa Maman, Dawn à cette présence, puis un de ses frères. Elle l'entend respirer, et communique avec lui, ne veut pas le quitter. Un échange que l'on ressent grâce aux prises de vue. La sensibilité qui se dégage des portraits est touchante de naturel, de réalisme avec une Charlotte Gainsbourg magnifique dans ce rôle. Le temps parait suspendu, mais petit à petit la vie reprend sont cour pour cette famille, pour cette Maman qui est aussi une femme, avec de nouvelles rencontres... Je ne révèle pas la suite...
Evidemment, pour ceux qui me connaissent, je ne suis pas sortie indemne de la salle de cinéma. Evidemment j'ai pensé à mes enfants et cette question qui m'obsède : comment font ils pour vivre avec cette absence ? Ils me disent souvent qu' il est et restera à tout jamais dans leur coeur. De toute façon je n'aime pas cette phrase qui dit "faire son deuil" parce qu'on oublie pas. Le temps certes efface la peine, quoique... Mais non, on n'oublie pas...
L'arbre
En écoutant, en regardant la bande originale de film
Une immense pulsion me pousse à aller le voir ce soir
C'est plutôt rare ces derniers temps
Je vais donc me régaler et en VO s'il vous plait !
J'aime les petits cinémas associatifs qui misent sur des films hauts en couleur
plutôt que sur du ciné "grand spectacle"
Impressions à suivre...
Neil Hannon – If dans “La consolante” d’Anna GAVALDA
Dès les premiers mots, j’ai aimé, je ne pensais pas lire ce livre au vue des critiques
et puis P. m’as dit je te conseille de le lire tu vas te régaler, il avait raison alors merci de ce partage…
Page 33 - Charles parle :
J’étais sonné. Plus que je ne l’aurais imaginé. Plus que je ne l’aurai souhaité. Je… J’étais sonné.
Putain de chansons d’amour… Toujours aussi sournoises… A nous faire courber l’échine en moins de quatre minutes. Putain de banderilles dans nos cœurs à statistiques.
Je lui rendis son oreillette en expirant.
- C’est bien, hein ?
- C’est qui ?
- Neil Hannon. Un chanteur Irlandais…Bon, on y va cette fois ?
- On y va.
- Et tu t’arrêtes pas, hein ?
- Don’t worry sweetie, it’s gonna be all right, la machouillai-je à la cow-boy.
Elle souriait de nouveau. Bien joué, Charly, bien joué…
Et je repris mon chemin là ou je l’avais laissé puisque c’est bien un chemin dont il s’agissait, pas de doute.
“Si tu étais un arbre, je pourrais mettre mes bras autour de toi…”
*.*.*
Cueillette près du Moulin
Grande Marée
Une belle journée à ramasser des coquillages
A patauger dans les flaques douces…
Last Tango in Paris
2001 - La revancha del Tango
D'abord séduite par la pochette, je ne savais pas si j'allais acquérir ce cd,
Du Tango "électronique" !!! J'avais envie de découvrir avec la crainte d'être déçue.
J'ai pensé à A. un ami (mélomane) qui me disait je choisis souvent mes disques par rapport à leurs pochettes...
Il se trompait rarement, ces choix se révélaient formidables.
Comme lui j'ai donc acheté ce disque laissant de côté la petite voix qui me disait " beurk du Tango électrique"
Moi qui adore Piazzola ! Il était pourtant précurseur du Tango contemporain. J'y ai songé et j'ai adoré.
Depuis 2001 j'écoute régulièrement ce cd... Comme quoi il est nécéssaire de ne pas avoir d'oeillères !
Et toujours cette sensualité qui caractérise le Tango...
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Photo intérieure
Katherine Pancol
Les yeux jaunes des crocodiles - La valse lente des tortues
et le dernier tome Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi